L'idéologie trans
Il faut lire "The end of gender" de Debra Soh qui explique très bien le sujet. C'est de voir les progressistes reprendre les délires inventés par les théologiens catholiques sur la distinction corps.
Le sexe et le genre sont des concepts distincts, mais intrinsèquement liés. https://threadreaderapp.com/thread/1082307052272214019.html
Une conférence sur le sexe et le genre: https://www.youtube.com/watch?v=Fvku-3YeG6I
"Il n'y a pas de base scientifique convenue pour une personne ayant l'esprit d'une personne du sexe opposé ou née dans le mauvais corps." https://bjgp.org/content/69/681/170
La testostérone ne fait pas l'homme: https://threadreaderapp.com/thread/1197253306684362752.html
Une chose très importante à comprendre c'est que la testostérone organise le corps et le cerveau avant la naissance. Il active également les «caractéristiques sexuelles secondaires», comme la croissance des cheveux et des muscles et l'abaissement de la voix. Mais ces effets organisationnels, y compris des choses comme la forme squelettique et l'architecture cérébrale, persistent même après un traitement hormonal. Les trans gardent donc un important avantage en sport sur les femmes même s'ils ont pris un traitement. Donc soit ils doivent avoir leur propre compétition soit ils concurrent avec les hommes mais c'est irresponsable de les mettre dans les compétitions féminines. Ils sont carrément dangereux dans les compétitions comme la boxe ou la lutte. Ils sont un danger pour les athlètes femmes.
La testostérone ne fait pas un garçon de sexe masculin, mais elle contribue à le «masculiniser». De même, un chromosome Y ne fait pas un garçon de sexe masculin - mais lui, et le gène SRY dessus, initie une cascade d'événements «masculinisants». Prétendre le contraire est dangereux et régressif.
"les femmes transgenres n'ont pas du tout perdu de force malgré la testostérone inhibée. De plus, l'effet sur la masse musculaire était moins prononcé que ce que beaucoup de gens pensaient auparavant, ne perdant que 5% du volume musculaire sur les muscles des cuisses " https://news.ki.se/new-study-on-changes-in-muscle-mass-and-strength-after-gender-affirming-treatment-may-have-anAujourd'hui, il y a un activisme trans pour influencer les enfants à devenir trans. Chose extrêmement dangereuse tant les enfants sont influençables.
Il faut notifier que la dysporie de genre des enfants a majoritairement tendance à disparaître la croissance achevée. De plus, il n'est pas rare chez les homosexuels qu'enfants ils se "croient dans le mauvais corps" avant de découvrir qu'en réalité, ils sont gays à l'âge d'adultes. Voilà ce qui arrive quand on encourage des jeunes n'ayant pas la capacité de discerner à changer de sexes: https://news.sky.com/story/hundreds-of-young-trans-people-seeking-help-to-return-to-original-sex-11827740 Autre article sur le sujet: https://ici.radio-canada.ca/info/2019/05/transgenre-sexe-detransitionneurs-transition-identite-genre-orientation/
Il y a également ce très bon article sur le sujet: https://www.theatlantic.com/magazine/archive/2018/07/when-a-child-says-shes-trans/561749/
Ou bien comment des tarés essaient de pervertir des enfants: https://www.theamericanconservative.com/articles/the-transgender-craze-is-leaving-thousands-of-young-victims-in-its-wake/
Un article intéressant et effrayant: https://www.marianne.net/societe/sciences-et-bioethique/tu-deviendras-ce-que-tu-voudras-ces-enfants-qui-changent-de-sexe-en-un-temps-record?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1602778537#xtor=CS2-4
Un article d'un pédopsychiatre sur le sujet: https://amp.lefigaro.fr/vox/societe/enfant-transgenre-sur-le-plateau-de-quotidien-le-decryptage-d-un-pedopsychiatre-20201008?__twitter_impression=true
Un excellent article à lire: https://quillette.com/2019/09/24/no-one-is-born-in-the-wrong-body/
De plus bon nombre de personnes transgenres ont d'autres maladies mentales mais bien sûr, on veut interdire aux psys de creuser la question: https://web.archive.org/web/20201007211500/https://threadreaderapp.com/thread/1293326790325239808.html
Le plus drôle c'est que l'Iran depuis des années promeut les conversions de sexes pour les homosexuels (voire pratiquent les conversions forcées).
Un article à lire : https://www.lepoint.fr/debats/transsexualite-les-motifs-inavouables-des-therapies-de-conversion-precoces-24-11-2018-2274130_2.phpUn thread sur l'activisme trans: https://threadreaderapp.com/thread/1096503521594171392.html
Marie Jo Bonnet (féministe & historienne) :"Dès lors qu’il n’y a plus de sexe, il n’y a plus de femmes, il n’y a plus que des hommes () Pour moi, c’est révélateur d’un mépris des femmes pour elles-mêmes, en tant que femmes"
https://comptoir.org/2014/12/16/marie-jo-bonnet-les-homos-sont-devenus-des-heteros-liberaux/
Il y a également ce bon livre: "Understanding Gender Dysphoria: Navigating Transgender Issues in a Changing Culture" de Mark A. Yarhouse
Ainsi que "Cynical Theories: How Activist Scholarship Made Everything about Race, Gender, and Identity―and Why This Harms Everybody" de Helen Pluckrose et James Lindsay
Les biais implicites
Le mythe de la `` mentalité de croissance '': https://unherd.com/2019/08/the-myth-of-the-growth-mindset/
La construction sociale
Comme, je l'ai expliqué plus haut, cette notion est vraiment mal comprise. Surtout qu'elle a un double sens. Je reviendrais ici sur trois mythes à propos de la construction sociale:
1 Si c’est une construction sociale ce n’est pas réel. Rien n’est plus faux. Ce n’est pas parce que quelque chose est une construction sociale qu’il n’existe pas. Le football est une construction sociale. C’est une invention humaine où les règles du jeu ont été créé par les humains. Ce qu’est le football est défini par une norme sociale. Reste que le football existe en tant que tel. Ici, on est dans un certain genre de construction sociale: une chose inventé par l’homme
Mais il existe un autre genre de construction sociale: une chose conceptualisé par l’homme. En effet, l’humain a cherché à connaître et à comprendre le monde qui l’entoure. Etant donné la complexité du monde, l’humain est obligé de conceptualiser la réalité. Reste que cela ne signifie pas que la réalité n’existe pas. Par exemple l’économie (dans le sens de la science économique) n’est que la conceptualisation de la réalité économique. L’économie existait bien avant la science économique qui a pour but de décrire les phénomènes économiques. (Après dans l’économie, il y a des choses qui sont des constructions sociales je pense à la monnaie).
La monnaie est clairement une construction sociale cela ne signifie pas que ce n’est pas réel.
La carte n’est pas le territoire. Une carte représentant un territoire est clairement une construction sociale. Reste que cela ne signifie pas que le territoire n’existe pas.
Si on interprète de manière large, on peut considérer qu’absolument tout n’est que construction sociale vu que la langue lui même est une construction sociale. Donc le simple fait de décrire la réalité avec des mots relève de la construction sociale. Le fait de désigner tel mot pour désigner tel phénomène relève de la construction sociale
2) L’idée que la construction sociale est quelque chose de négatif. Rien n’est plus faux. Pour qu’une société fonctionne, on a besoin de normes sociales. Car une société implique une coopération humaine qui est impossible sans normes sociales. L’état lui même est une construction sociale. Allez essayer de faire une société qui fonctionne sans Etat (sans monopole légitime de la violence, pas de concurrence pacifique possible. Donc pas d’économie de marché. C’est juste la loi du plus fort qui règne).
La monnaie est une construction sociale et pourtant, personne ne remet en cause son existence. Car sans monnaie, il est impossible de développer l’économie et avoir la société actuelle. Sans monnaie, on est obligé de faire du troc (qui est un système profondément inefficace).
De même le football ou le rugby qui sont des constructions sociales ne sont pas des choses négatives simplement car c’est des constructions sociales.
Une construction sociale peut être bénéfique et importante pour notre société.
3) L’idée que la construction sociale est quelque chose de purement arbitraire. Que cela n’est pas fondé sur quelque chose d’objectif. Et que par conséquent, il suffit de prouver qu’une chose est une construction sociale pour la rejeter de manière arbitraire.
Il suffit de prouver que la notion de race est une construction sociale pour considérer que si l’on veut on peut considérer que les juifs ashkénazes ne sont pas des blancs.
C’est complètement faux: une construction sociale peut avoir des bases biologiques. Une construction sociale n’implique pas qu’elle a été construire de manière arbitraire. Que cela ne s’appuie pas sur le réel ou la logique. Par exemple, le groupe "joueurs NBA" et celui "non joueurs de NBA" sont des "catégories sociales" mais il y aura évidemment des différences génétiques systématiques entre les groupes (par exemple, dans les fréquences d'allèles qui affectent la hauteur).
Une carte est une construction sociale. Pourtant, cela représente la réalité. Le cas de la carte du monde est particulièrement intéressant: il est impossible de dessiner une carte du monde sur une surface en 2D qui soit une représentation exacte de la réalité. Par conséquent, on est toujours obligé de faire un choix (privilégier les contours exactes ou la proportion exacte). Donc il y a une part d’arbitraire (choix de ce qu’ils veulent représenter le plus juste) mais reste que les dessinateurs ne peuvent pas faire n’importe quoi. Certes, une carte en 2D déforme la réalité et implique un choix de la part de ceux qui la font. Reste que l’on est très loin d’une carte qui a été fait totalement arbitrairement et où l’on peut faire n’importe quoi.
C’est une analogie intéressante avec certaines constructions sociales: il est impossible de conceptualiser de manière totalement fidèlement à la réalité. On n’est obligé de faire certains choix et de simplifier la réalité. Je pense aux modèles économiques. C’est toujours des simplifications de la réalité. Reste que cela ne veut pas dire que l’on peut faire n’importe quoi au niveau des modèles économiques et qu’il n’y a pas des modèles économiques meilleurs que d’autres.
Le cas de la monnaie est intéressant c’est une construction sociale. Pourtant, la valeur d’une monnaie est décidé par des phénomènes économiques. Ce n’est pas décidé de manière arbitraire. La banque centrale en activant certains phénomènes économiques peut influencer sur la valeur de la monnaie mais elle ne peut pas décider de manière arbitraire de sa valeur. (Surtout les choix de la Banque centrale sont toujours guidés par des motifs économiques. Ils agissent non pas sans raison).
Pour classifier les différents groupes humains, on a essayé de se baser sur des critères objectifs. La classification humaine aux USA a une part d’arbitraire reste que de base c’est basé sur la réalité biologique. On peut par exemple poser la question des arabes aux USA: sont t il blancs ?? Si on faisait des statistiques ethniques en France: il y aurait clairement une catégorie arabe. Aucun arabe en France ne se considère comme blanc. Mais historiquement, à une époque c’était le cas, les arabes se considéraient comme blancs.
Et s’il y avait un pourcentage élevé d’arabes, il y aurait fort à parier qu’aux USA, ils introduiraient une catégorie « arabe » (comme ils ont introduit une catégorie « latinos » car il y en avait beaucoup).
Mais par contre, pour les ashkénazes ils sont clairement blancs. Il n’y a pas de discussion possible. Biologiquement, ils appartiennent au groupe ethnique blanc. Ce n’est pas parce que la classification actuelle pose certains problèmes que cela signifie qu’il faut la rejeter. Pour la plupart des gens, elle marche très bien. Ce n’est pas parce que les contours des groupes ethniques sont flous qu’il n’existe pas de groupes ethniques.
D’ailleurs techniquement, les classifications scientifiques sont des constructions sociales. Par exemple: la classification des animaux. Reste que cette classification a été faite de manière logique sur base de la réalité. Et absolument personne ne remet en cause cette classification.
Il faut arrêter de croire que construction sociale = arbitraire. Notre système mathématique est une construction sociale. Reste que si c’est le système universellement adopté dans le monde aujourd’hui (alors qu’historiquement, il y a eu d’autres systèmes mathématiques), c’est parce que c’est de loin le meilleur système mathématique au monde. C’est le système le plus efficace.
Donc il ne suffit pas de dire qu’une chose est une construction sociale pour que celle la décrédibilise, que cela veut dire que l’on peut la rejeter. Il faut en plus prouver que cette construction sociale est mauvaise/inadéquate et que l’on peut proposer une meilleure construction sociale à la place.
Surtout que le paradoxe avec les progressistes c’est que souvent, ils argument « X est une construction sociale » donc il faut supprimer X et le remplacer par Y. Sauf que Y est elle même une construction sociale. Leur logique c’est « les constructions sociales c’est mal sauf quand cela va dans mon sens ». C’est vraiment hypocrite. Ce qu’il faut c’est prouver que Y est meilleur que X. Il ne suffit pas de prouver que X est une construction sociale ni même que X est mauvais mais prouver que l’alternative que l’on propose est meilleure. (Oui parce que c’est pas parce que quelque chose est mauvais qu’il faut le supprimer: il faut regarder la meilleure des options (une autre manière de voir les choses: il faut regarder la moins pire des options). Or, il ne suffit pas de prouver qu’une option est mauvaise, il faut prouver qu’il existe une option qui est meilleure).
Une autre chose aussi mal comprise c’est que ce n’est pas parce qu’une chose est une invention de la société que c’est quelque chose d’arbitraire. Je pense aux Etats modernes. Ils sont le produits de la société mais plus encore des circonstances qui ont rendu les Etats nécessaires. Une société complexe ne peut pas fonctionner sans Etat. Si toute société complexe a un état ce n’est pas un hasard. C’est qu’il n’y a pas moyen de fonctionner autrement. On a vu la mise en place des Etats dans différents pays. Ce n’est pas un hasard car l’état n’est pas juste le fait d’hommes qui ont décidé qu’il y aurait un état mais le fait des circonstances qui ont rendu nécessaire cette création.
Même chose pour le statut hommes femmes. Si historiquement, les sociétés étaient dominés par les hommes ce n’est pas le fruit d’un hasard mais par le fait qu’historiquement, les sociétés modernes étaient basés sur la force. Or, il y a une grande différence de force entre homme et une femme. Une société patriarcale permettait une division efficace des tâches entre hommes femmes (les hommes occupaient en priorité les métiers manuels demandant de la force là où les tâches ménagères demandant moins de force étaient plus adaptés aux femmes. Sans parler du fait que c’est les femmes qui accouchent et allaitent). Ce qui a permis l’égalité homme femme c’est deux choses: le fait que les Etats aient obtenu le monopole de la violence légitime. (Avant cela, c’étaient aux hommes de défendre leurs familles). Et surtout, la révolution industrielle qui a permis de mettre fin à la société basé sur la force et de passer progressivement à une société basé sur l’intelligence (Or, là en moyenne, l’intelligence entre hommes et femmes est la même). Bien sûr, cela s’est fait progressivement.
La première guerre mondiale qui a vu les hommes aller au front et donc les femmes ont dû s’occuper des emplois qui étaient occupés par les hommes a permis d’accélérer l’égalité homme femme.
(Je rappelle que dans une société patriarcale, les hommes ont certes plus de droits que les femmes mais également plus de devoirs que les femmes). Les hommes sont loin d’être les seuls à obtenir des bénéfices dans une société patriarcale.
Les circonstances ont changé rendant la société patriarcale désavantageuses pour les femmes. Or, dans l’histoire, quand il y a une inadéquation entre devoirs et droits cela amène des problèmes.
Historiquement au moyen âge, le terme protection a un double sens (le sens actuel mais aussi le sens de juridiction). On considérait que celui qui protégeait obtenait un pouvoir sur la personne qu’il protégeait (qui devait lui obéir). Or, dans une société sans Etat, les hommes jouent un rôle primordiale dans le fait de protéger leurs familles (donc ils sont les chefs).
Noter que c’est la même logique pour les nobles. Ils avaient des privilèges car ils avaient des devoirs supplémentaires mais au fil du temps, ils n’ont plus eu à accomplir des devoirs supplémentaires mais ont gardé leur pouvoir ce qui a amené la révolution francaise. Même chose à Rome, les réformes Marius qui ont mis la circonscription universelle pour les citoyens romaines ont entaché la légitimité de l’aristocratie (qui justifiait son pouvoir par le fait qu’elle versait son sang pour Rome) ce qui a créé des tensions qui ont mené à la fin de la République romaine.
Tout cela pour dire que les constructions sociales sont parfois bien plus dépendantes des circonstances dans lesquelles sont nos sociétés que dans des choix humains arbitraires.
Il faut arrêter de croire que la culture serait quelque chose d’imposer par les élites alors que la culture est souvent le fruit des circonstances dans lesquelles se trouvent nos sociétés. (Je ne dis pas que c’est la seule chose à prendre en compte mais c’est souvent oublier)
Les documents de recherche anciens – et très cités – sur la « menace stéréotypée » sont des cas d'allégations générales basées sur des preuves insuffisantes.
RépondreSupprimerAndrew Gelman critique fortement l'un de ces articles ici :
https://statmodeling.stat.columbia.edu/2021/06/16/wow-just-wow-if-you-think-psychological-science-as-bad-in-the-2010-2015-era-you-cant-imagine-how-bad-it-was-back-in-1999/
Les papiers en question:
https://doi.org/10.1006/jesp.1998.1373
https://doi.org/10.1111%2F1467-9280.00111
Nouvelle étude : Les préjugés explicites expliquaient quels Blancs discriminaient [ les Noirs] alors que le ressentiment [anti-noir] n'était pas prédicitif... [Le] ressentiment et les préjugés sont des constructions distinctes, et [seulement] les préjugés explicites ont des implications comportementales claires.
RépondreSupprimerhttps://osf.io/preprints/socarxiv/qwusz/
80% du test d'association implicite est une erreur, selon une nouvelle étude.
L'IAT s'est avéré insuffisamment affiné pour fournir des informations sur nos préjugés implicites et son utilité dans la recherche et l'application est discutable, voire parfois trompeuse.
https://psyarxiv.com/afyz2/
Une opinion courante en psychologie est que la plupart des gens se comportent de manière légèrement discriminatoire en raison d'un biais implicite. Un autre point de vue est qu'un petit nombre se comporte de manière ouvertement discriminatoire. Une nouvelle étude fascinante trouve des preuves de cette dernière hypothèse:
RépondreSupprimerhttps://doi.apa.org/doiLanding?doi=10.1037/xge0000983
Les tests de biais implicites ont une faible fiabilité test-retest : ils donnent des résultats différents à chaque fois. Le biais implicite ne prédit pas le comportement, et l'entraînement au biais implicite ne modifie pas le comportement. La mise en évidence de biais implicites a des effets secondaires https://psych.wisc.edu/Brauer/BrauerLab/index.php/implicit-bias/
RépondreSupprimerLa précision des stéréotypes est l'une des découvertes les plus solides et les plus reproductibles de la psychologie. https://cspicenter.org/reports/the-accuracy-of-stereotypes-data-and-implications/
Comme les antiracistes ont du mal à trouver des preuves de racisme conscient, ils sont obligés de parler de racisme inconscient. L'antiracisme a une dimension de plus en plus complotistes: ils semblent persuadés de l'existence d'une entité malveillante et invisible qui est surpuissante qu'ils appellent suprématie blanche. Ils sont obsédés par la suprématie blanche et souvent, ils prêtent à cette suprématie blanche un pouvoir quasiment magique. Il y a des universitaires qui pensent que si les noirs agressent les asiatiques c'est à cause de la suprématie blanche (bien sûr, ils sont incapable de donner une explication rationnelle pour expliquer comment cette suprématie blanche aurait un tel pouvoir).
RépondreSupprimerIls sont persuadés que cette suprématie blanche est dans tous les recoins de la société américaine (même s'ils sont incapable de le prouver).
Si le racisme systématique cause les différences d'écart entre noirs et blancs comment ils expliquent le fait que certains groupes minoritaires réussissent mieux que les blancs ??? Comme les asiatiques. Ou même les nigérians. Ou les juifs.
Bref, il est absurde de prétendre que les blancs réussissent mieux que les noirs à cause de la suprématie blanche alors que les blancs réussissent moins bien que les asiatiques. Je rappelle qu'en effet qu'ils sont persuadés que les noirs sont opprimés en raison du fait que les noirs réussissent moins bien que les blancs mais donc si on suit leur logique jusqu'au bout, on peut conclure qu'il existe une suprématie asiatiques aux US.
Non seulement, la gauche se trompe sur l'inexactitude des stéréotypes mais en plus, elle se trompe sur l'influence qu'ont les stéréotypes sur les gens. Elle surestime complètement leur influence. S'il est assez clair qu'une animosité profonde contre un groupe ethnique conduira à discriminer de manière importante la personne faisant parti du groupe ethnique hai, il n'est du tout clair qu'une personne avec des stéréotypes négatifs contre un groupe, discriminera la personne de manière importante. Il est bien plus probable que dans le pire des cas, il y ait une discrimination très faible (donc avec assez peu d'influences). Surtout que quand on juge une personne, les gens normaux le font sur l'ensemble des connaissances qu'ils disposent sur cette personne (pas juste sur sa couleur de peau). Son ethnie est une information que les gens disposent sur elle mais il y a beaucoup d'autres informations (sa facon de s'habiller, ses vêtements,...). Et oui la plupart des gens ne partagent pas l'obsession des antiracistes pour la race. A titre personnel, j'ai une opinion négatif des américains (je les trouve superficiels, trop émotifs et stupides). Mais il est évident que quand je suis amené à juger un américain, je ne me baserai pas uniquement sur sa nationalité mais surtout sur la personne que j'ai en face de moi. Car je comprends très bien le fait que tous les américains ne sont pas superficiels et stupides. C'est juste une tendance général des américains. La plupart des gens savent très bien que quand ils ont tel stéréotype contre tel groupe humain, c'est une tendance général (cela ne concerne pas tous les membres du groupe).
RépondreSupprimerC'est d'ailleurs pour cela qu'ils n'étaient pas rare que les antisémites européens au 19 ou même début du 20 siècle aient des amis juifs. C'est juste qu'il ne s'agissait pas d'un antisémitisme absolu (comme le nazisme) mais d'un antisémitisme relatif.
De plus, ce qui rend le délire des biais implicites encre plus grotesque. C'est que les partisans des biais implicites prétendent souvent que même si les gens sont explicitement antiracistes, ils sont quand même inconsciemment racistes. Ce qui est absurde. En général, vous avez parfaitement conscience de si vous aimez ou non tel personne (ou tel groupe de personnes). S'ils arrivent que des gens n'admettent pas publiquement certaines de leurs opinions (par peur de subir des représailles, d'être rejeté) cela ne veut pas dire qu'ils ne sont pas conscients de leurs opinions. Il est très improbable que vous vous ayez une croyance consciente qui contredise pleinement une croyance inconsciente. C'est contraire aux connaissances que l'on a de la psychologie.
Et désolé mais prétendre qu'une personne du seul fait qu'elle est blanche est raciste c'est une affirmation qui est en soi profondément raciste.
L'antiracisme n'est que du racisme anti blanc (qui a énormément en commun avec l'antisémitisme).
Le fantasme antisémite est que le groupe d'individus qui se trouvent être juifs et qui occupe des postes politiques, culturels et commerciaux influents ne sont pas simplement un groupe d'individus carriéristes, mais que l'ensemble de leurs relations constitue une structure qui sert leurs intérêts à l'exclusion des intérêts des autres. Cet ensemble de relations manipulant la société est alors considéré comme l'essence juive cristallisée dans « juif » comme signifiant. Les antisémites pensent exposer cette structure mystifiée et cachée à la critique et à l'observation directe. C'est littéralement la même structure que la pensée des personnes éveillées et progressistes ainsi que la même structure de pensée critique propagée dans les universités mais avec une élaboration théorique plus sophistiquée et le remplacement de la signification «juive» par le capitalisme, raciste, blanc ou autre chose. C'est une façon de penser allemande qui a pris le dessus sur la haute culture occidentale. Ce n'est pas aussi sauvage qu'il y paraît, mais un paradigme sociologique conceptuel dans lequel nous sommes tous maintenant bien familiarisés et bien formés.
SupprimerLa pensée allemande consiste à croire que les structures de la société sont conçues comme un tout cohérent et consistent capturé dans le terme de modernité. Que toute existence humaine, vie sociale, pensée politique, relations intimes
relations et les formes d'expression est façonné par un principe unique appelé modernité. Toute forme de critique sociale qui considère la modernité comme intrinsèquement problématique ou intrinsèquement déshumanisante est finalement construite sur une telle structure de pensée historiciste allemande car elle repose sur l'hypothèse que le seul principe formatif de la modernité est la déshumanisation et puisque chaque aspect de la vie humaine à une époque est complètement formé par son principe formatif, alors tous les aspects de la vie moderne, sa politique, son organisation économique, son art, sa culture, etc. sont déshumanisants. Cette conceptualisation de «l'époque moderne» conduit finalement au désir intense de transcender l'époque déshumanisante de la modernité à une époque totalement différente qui restaure l'humanisme des anciens.
Les antiracistes ont étendu la définition du racisme de tel sorte que toute critique contre les groupes minoritaires est devenu une sorte de racisme. Toute présentation négatif (même si cette présentation est parfaitement réel) d'un groupe minoritaire c'est du racisme.
RépondreSupprimerPour eux, si vous avez une quelconque opinion qui présenterait de manière péjoratif les noirs vous êtes raciste même si c'est de la pur réalité. "Les policiers sont racistes car ils tiennent compte du fait que les noirs sont disproportionnellement criminels aux USA"
Chose marrante avec les antiracistes c'est qu'ils prétendent qu'il faut combattre les préjugés antiracistes mais jamais les préjugés idéologiques. Ils veulent imposer leur idéologie au reste du monde et osent prétendre être critique. Pour eux, vous devez acceptez leurs idées stupides comme des faits établis même s'ils avancent un tas d'affirmations sans aucune preuve.
RépondreSupprimerIl est intéressant de voir à quel point les antiracistes prétendant lutter contre les préjugés antiracistes utilisent cette lutte pour imposer leur vérité. En effet, ils considèrent que tout ce qui va à l'encontre de leur idéologie est un stéréotype raciste. Résultat le seul moyen de se départir des stéréotypes racistes c'est d'accepter leur idéologie sans jamais la remettre en question.
SupprimerLes antiracistes qui prétendent lutter contre les préjugés antiracistes prétendent souvent que les blancs ont tous des préjugés racistes (même inconsciemment). Mais par définition, cette affirmation est un préjugé raciste (antiblanc). (Et soi dit en passant, ils n'ont aucune preuve solide pour étayer leur affirmation). Il n'y a aucune réelle preuve qu'il existerait des préjugés racistes inconscients.
Quand on est un idéologue d'extrême gauche rempli de stéréotypes idéologiques, c'est grotesque de prétendre lutter contre les stéréotypes. Accuser les autres d'être gouverné par leurs stéréotypes quand on est soi même incapable de faire preuve de pensée critique vis à vis de ces propres stéréotypes c'est d'une hypocrisie sans nom. Selon eux, les stéréotypes sont mauvais...que quand cela les arrange. En réalité, ils considèrent que tout ce qui va à l'encontre de ce qu'ils pensent c'est un stéréotype raciste. Ils exigent que les autres combattent leurs stéréotypes pour que ces gens acceptent leurs propres stéréotypes comme vérité absolue et incontestable.
Les lesbiennes sont accusées d'être transphobes quand elles refusent de coucher avec des femmes trans : https://www.bbc.com/news/uk-england-57853385
RépondreSupprimerTout cela est très déroutant pour la plupart des gens aujourd'hui parce que les médias ne leur disent pas pourquoi les anciens hommes masculins qui veulent avoir des relations sexuelles avec des femmes mettent des robes : ce n'est pas parce qu'ils se sont toujours sentis comme une fille à l'intérieur, mais parce qu'ils ont un fétiche sexuel appelé autogynéphilie.
SupprimerUn article intéressant à lire: https://replicationindex.com/2020/12/13/defund-implicit-bias-research/
RépondreSupprimerLa principale hypothèse théorique dans la littérature sur les biais implicites est que les individus peuvent avoir deux attitudes qui peuvent être en conflit l'une avec l'autre (modèle à double attitude). Une attitude est consciemment accessible et peut être mesurée avec des auto-évaluations (honnêtes). L'autre attitude n'est pas consciemment accessible et ne peut être mesurée qu'indirectement ; généralement avec des tâches informatisées comme le test d'association implicite. La principale preuve à l'appui de la notion de biais implicite est que les auto-évaluations de certaines attitudes ne sont que faiblement corrélées avec les scores des mesures implicites comme l'IAT. Le principal problème avec cette preuve est que l'erreur de mesure seule peut produire de faibles corrélations entre deux mesures. Dans les études qui corrigent les erreurs de mesure aléatoires et systématiques, la variance valide des auto-évaluations et des mesures implicites est souvent fortement corrélée. https://replicationindex.com/2019/05/30/iat-pops/
RépondreSupprimerEt: https://replicationindex.com/2020/11/11/invalid-claims-iat/
SupprimerLe plus drôle c'est que le terme biais implicite n'a pas de sens clair: https://replicationindex.com/2022/11/18/implicitbiasdefinition/
SupprimerBref, ce terme a plusieurs significations possibles (et aucune n'est réellement convaincante)
Biais de publication dans la littérature sur les menaces stéréotypées: https://replicationindex.com/2022/02/15/rr22-stereotype-threat/
RépondreSupprimerLe test d'association implicite n'a aucune réelle validité: https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/1745691619863798
RépondreSupprimerIl a répondu aux critiques des défenseurs de ce test: https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/1745691621991860
SupprimerL'idée même de voir l'humain comme fondamentalement "biaisé", soumis à de nombreuses erreurs et égarement pour de nombreuses tâches de raisonnement ou logique simples a été remis en cause par la littérature scientifique récente. Cette vision, encore pas mal répandue en économie comportementale, est largement remise en cause en psychologie depuis une ou deux dizaines d'années, par des chercheurs comme G. Gigerenzer. Gigerenzer critique le terme de "biais" lui-même. Pour qu'un "biais" existe, il faut pouvoir définir le "vrai" comportement, non biaisé, optimal. On est forcément biaisé par rapport à quelque chose. Or, s’il est facile en laboratoire et dans un cadre probabiliste simple de définir un comportement optimal, cela n'a souvent pas de sens dans la vraie vie. Dans la vie réelle, nos mécanismes de décisions sont adaptés pour décider en incertitude forte, avec peu de données, et sans savoir ce que serait l'optimal. Prenez un chef d'entreprise. Comment peut-il savoir quel est le candidat "optimal" à recruter, ou l'investissement "optimal" à faire dans une nouvelle technique ? Sur le plan personnel, peut-on trouver le conjoint "optimal", le travail "optimal", etc ? Peut-on considérer l'ensemble des possibilités différentes, les évaluer, et choisir le "bon" comportement ? Transposés dans des contextes simplistes du laboratoire, nos mécanismes de décisions apparaissent facilement "biaisés, car on leur demande de répondre à des problèmes fictifs auquel ils ne sont pas adaptés.
RépondreSupprimerDans la vraie vie nous n'avons souvent pas le temps de collecter un échantillon "représentatif" : soit il n'existe pas, soit cela est trop long/couteux; on nous n'avons pas le temps et devons décider avant.
De plus, l'échantillonnage repose sur une stabilité statistique du phénomène sous-jacent. Or rien ne garanti que cela sera toujours le cas. Supposons que votre associé ai tjrs été honnête, puis décide de voler dans la caisse: combien de temps devez vous atteindre pour décider que vous avez un échantillon assez "fiable" pour déduire que vous devez vous séparer de lui ? Bref, l'échantillonnage n'est pas toujours faisable, ni souhaitable. Bien sur dans le cadre d'une démarche scientifique, il est tjrs souhaitable, mais la vie n'est pas un labo scientifique où toutes les décisions sont évaluées avec une procédure statistique. Pour ces raisons, les humains se reposent souvent sur des petits échantillons, car c'est souvent uniquement ce qui est disponible. Et les recherches récentes montrent que loin d'être une catastrophe, la généralisation à partir de petits échantillon est souvent très efficace ! https://sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0010027709003023
De même, la décision en petits groupes est souvent optimale, pas besoin de super échantillon comme on le croit souvent : https://royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rspb.2013.3305
L'anecdote est loin d'être aussi peu fiable que l'on croit. C'est un mécanisme courant, et pour de bonnes raisons, comme le montre cet article : car c'est un processus efficace ! https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0022103113001376
En effet, l'anecdote sociale permet de crédibiliser l'information: une histoire d'un membre de votre famille sera plus cru que si elle vient d'un inconnu. Il est raisonnable de considérer que vos cercles proches ont moins de chance de vous mentir et donc de leur accorder plus d'importance. Utiliser des anecdotes est ainsi souvent une méthode efficace pour trier l'information et avoir un jugement plus précis sur un phénomène ! Le chapitre de ce livre regroupe de nombreux modèles et études sur l'efficacité du "social sampling" justement. https://direct.mit.edu/books/book/4521/chapter-abstract/202201/Going-Round-in-Circles-How-Social-Structures-Guide?redirectedFrom=fulltext
SupprimerBref, l'idée que nous serions biaisés, généralisant à tous va stupidement, loupant la complexité du monde. Or, c'est bien par ce que le monde est complexe, incertain, changeant, que la généralisation est un mécanisme souvent efficace. Comprendre cela revient à changer de perspective : cela revient à comprendre pourquoi dans certains cas ces mécanismes fonctionnent moins bien et sont négatifs, plutôt que de les voir comme des mécanismes mauvais en soi et dangereux.
Un petit livre intéressant: https://www.amazon.fr/dp/2714445268/ref=cm_sw_r_cp_apa_i_K7HHM2K4AH6189WDMD0X
Sur l'idée que la race est une pure construction sociale sans réalité biologique: https://web.archive.org/web/20220810190943/https://threadreaderapp.com/thread/1557194886147088384.html
RépondreSupprimerLe biais implicite le plus important et le plus constant était le biais pro-femmes/anti-hommes
RépondreSupprimerhttps://psycnet.apa.org/doiLanding?doi=10.1037%2Fpspa0000314
Pas d'effets cohérents quand aux biais sur la race
Le biais implicite pro-féminin (c'est-à-dire simplement des effets facilitateurs/inhibiteurs plus importants) est considérablement plus fort chez les participantes que chez les hommes.
Supprimer(A noter que cette étude porte sur le biais d'évaluation, et non les stéréotypes implicites (ceux ci n'ont aucune valeur))
SupprimerAutre étude trouvant des biais implicites favorables aux femmes: https://psycnet.apa.org/record/2001-95008-044
RépondreSupprimercette étude utilise le test d'association implicite
SupprimerLes stéréotypes sont largement rationnels. Ils permettent de faire de bonnes prédictions. https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/0020174X.2023.2166983
RépondreSupprimerSur la nature et la fonctionnalité adaptative des stéréotypes: https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0065260120300149
Le premier article est bon en stéréotypes, mais il exagère énormément les effets des prophéties auto-réalisatrices car il oublie un biais de publication massif. Ils ont également mal compris Madon et al, 2018
SupprimerEn réalité, prétendre qu'il ne faut pas avoir de stéréotypes c'est une injonction à ne pas réfléchir. Car en effet quand vous observez la réalité vous observez certains schémas qui se répètent. Et prendre en considération ces schémas pour agir est totalement rationnel.
RépondreSupprimerEn effet, la plupart des personnes avec qui on a des interactions dans notre vie seront des personnes que l'on connait peu. Donc forcément, il faut se fier aux quelques informations que l'on a sur eux pour les juger (car en fonction de notre jugement, nous les traiteront différemment).
L'apparence donne des informations sur une personne. Certes, ce n'est pas parfait. Personne ne peut prétendre connaitre entièrement une personne à partir de son apparence. Et quelques fois, l'apparence est trompeur mais dans la grande majorité des cas, l'apparence donne de réelles informations utiles sur une personne. Bien évidemment, vous aurez toujours une meilleure capacité à avoir un jugement juste sur une personne si vous la connaissez vraiment une personne que si vous la jugez en 5 minutes.
Refuser d'avoir des stéréotypes c'est refuser d'observer des schémas qui existent dans la réalité.
SupprimerDans l'expérience, les participants ont été informés qu'ils seraient interviewés tout en montrant une cicatrice sur leur visage, qui a été appliquée par un maquilleur. Cependant, à l'insu des participants, le maquilleur a enlevé la cicatrice avant l'entretien, donnant l'impression qu'ils n'en avaient jamais eu. Cela a créé un scénario où les participants pensaient qu'ils avaient une cicatrice visible, favorisant un état d'esprit de victime.
RépondreSupprimerLes résultats de l'expérience Dartmouth Scar ont été frappants. Les participants qui croyaient avoir une cicatrice faciale ont montré un changement significatif dans leur état d'esprit et leur comportement par rapport à ceux qui n'en avaient pas. Ils ont manifesté des sentiments accrus d'impuissance, d'apitoiement sur eux-mêmes et une tendance accrue à blâmer les autres pour leurs échecs. De plus, leur motivation à surmonter les défis et à lutter pour leur croissance personnelle a diminué.
D'un autre côté, les participants qui ne croyaient pas avoir de cicatrice ont fait preuve d'un état d'esprit plus proactif, assumant la responsabilité de leurs actes et cherchant des solutions aux défis. Ils ont fait preuve d'une plus grande résilience, de persévérance et d'une plus grande confiance en leur capacité à surmonter les obstacles. https://psycnet.apa.org/record/1981-28014-001
Cette expérience montre que la discrimination ressentie est très peu fiable vu que les personnes sans cicatrices mais croyant en avoir une rapportaient être massivement discriminées.
Cet article démonte les différents arguments qui soi disant démontent le fait que la race n'a pas une origine biologique: https://philpapers.org/archive/SESRAS.pdf
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